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AJACCIENS AJACCIENNES a chacun son POULARDIN

AJACCIENS AJACCIENNES à chacun son POULARDIN

A travers les aventures de Monsieur POULARDIN et leurs amis, c’est un moment de lecture «rigolo» sans prétention, et surtout une nouvelle fois Michel CICCADA qui fait parler de lui…
Ne cherchez pas la généalogie de «Monsieur POULARDIN», «pseudo» inventé par Michel et ses amis pour se livrer à de multiples «macagne» aux escroqueries mineures (réservation d’hôtel, restaurant….afin de ne pas payer les notes)…. Les seules certitudes que nous puissions avoir c’est que ses ancêtres évoluaient du côté de la gare “Ajaccium” puis dans la vieille cité génoise, et lui dans l’Ajaccio de 1970 à nos jours.
POULARDIN c’est tout le monde,
POULARDIN c’est personne,
POULARDIN c’est «micca nome»,
POULARDIN c’est AJACCIEN,
POULARDIN c’est l’ajaccien comme bon vous plaira….
C’est certain, d’aucun se reconnaîtront derrière POULARDIN, reconnaîtront leurs voisins ou un tel ou un tel, la dérision et l’humour devant l’emporter. Tous ces acteurs volontaires ou involontaires sont déjà contents d’y être, et les autres, ceux dont on s’excuse de les avoir oublié seront dans la suite.
Livre gravant à jamais quelques histoires, toujours racontées, jamais écrites, de la grande saga ajaccienne. «Macagne», «cacciate», personnages hauts en couleurs, arnaques en tous genres, c’est la petite histoire d’Ajaccio qui se raconte là, chacun en tient un petit bout réel ou imaginaire, là n’est pas le propos, s’en servir pour la syntaxe, grammaire ou vocabulaire non plus, mais il met en lumière ce brin de malice, de philosophie «Carpe Diem» dont chaque ajaccien détient un morceau…
Au delà du manuscrit, c’est la personne de l’auteur qui est de nouveau mise en exergue, on peut déjà dire que le livre se vend sur sa «COUV».
Sous des airs naïfs le personnage fait parler de lui depuis plus de 30 ans. Adolescent sur la plage de l’Ariadne il se mêlait aisément au parti de l’élite du volley ajaccien! Plus tard Ajaccio avait ses pro et anti CICCADA, le bellâtre aux grosses motos et belles petites.
Il fut même au cœur d’un événement tragique de l’histoire de la Corse; en pleine affaire Bastelica Fesch il fut piqué par une vive, ramené d’urgence en moto à l’hôpital, ils furent contraints de forcer un barrage de CRS, qui n’eurent d’autres recours que de lui tirer dessus, le blessant, et par là comme un signe du destin pour celui qui aspirait à ne jamais travailler, une rente à vie aux frais de l’Etat.
Les “tensions” pro et anti CICCADA pouvaient monter, il collectionnait voitures de luxe, grosses cylindrées, belles filles et succès dans les affaires, faisant rayonner toutes les discothèques dont il assurait la direction: Week-End, Sun Club, Galathée…
Dans la tradition des grandes «sege aiaccine» à la Tintin Cassemaque il allait manager le binôme «Antoine le mince et Paulo le gros». Vint le temps des voyages débutant par le Brésil, s’offrant des entrées dans les plus beaux palaces, accueillant ses amis comme des princes, Cuba, fraternisant avec Alexis CASTRO (fils de Fidel), Punta del Este, Bora Bora, Thaïlande, Vietnam, autant d’endroits où il ne fut jamais un simple touriste….
Présent aux dernières élections municipales, il troubla le jeu politique au point de gêner ceux dont c’est le métier.
Déjà Best Seller Poulardin le livre sera suivi d’un CD et d’une pièce de théâtre avec sa voisine Angèle Mozzigonacci (Mise en scène de la remise du prix du livre Corse)

Avis aux lecteurs
Toute ressemblance avec le personnage central du livre (Mr POULARDIN) n’est que pure coïncidence ou imagination féconde. Pour tous ceux qui pourraient se reconnaître, n’insistez pas car le clonage de Mr POULARDIN, individu hors du commun, est irréalisable. S’il n’y en avait qu’un, «hè un aiaccinu» né à Ajaccio ! Alors que je vous dise d’entrée et sans prétention, ce livre est plus particulièrement destiné, et fortement conseillé aux : radieux, grelucheux, galeux, piteux, fâcheux, fallacieux, matheux, bileux, grincheux, épineux, bouseux, pompeux, pulpeux, boutonneux, vaseux, ténébreux, peu scrupuleux, vertueux, faramineux, calamiteux, désastreux, teigneux, besogneux, gâteux, malheureux, langoureux, bien heureux, respectueux, majestueux, comateux, filandreux, et autres screugneugneux et oublier les têtes de n…. qui ne comprennent rien à l’humour ajaccien, en espérant que cette lecture pourra à tout jamais les guérir de leur sinistrose et à cet effet je leur propose une bonne dose de ce que l’on pourra appeler désormais la «POULARDOSE» afin que leur vie morose se métamorphose en vie en rose. «Qui n’en prend n’en prend et qui n’en a eu n’en a eu» ou si vous préférer «A chì ni pighia ni pighja».     M. Ciccada & S.Fédéricci

La question de l’après Poulardin : que nous réserve Michel dit “Le Maire”…

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